Notre volonté.
Il est difficile d’exister quand on est Franco-Turc.
Surtout depuis que des députés clientélistes ont légiféré, en faisant fi des conclusions des spécialistes de l’histoire turco-ottomane, pour disposer iniquement que : "La France reconnaît le génocide arménien" de 1915 (loi déclarative de janvier 2001)
Durant des dialogues, tout vient sur la table : la situation de la Turquie, bien sûr, mais aussi, en France, les replis communautaires, les inégalités, le danger du (...)
M. Toranian a fort peu apprécié — ce qui n’étonnera personne — le courrier de protestation contre sa tribune publiée par Le Monde et il le fait savoir sur son site. Étant le rédacteur de ce courrier, que j’ai soumis, pour approbation, à certains de mes amis, il m’incombe de rétablir, une fois encore, les faits. M. Toranian illustre la formule populaire selon laquelle « il n’y a que la vérité qui blesse ».
Questions de fond
Le rédacteur en chef des Nouvelles d’Arménie magazine accuse la (...)
La police est intervenue dimanche à coups de gaz lacrymogènes place de Bastille (XIe), à Paris, pour mettre fin à des heurts entre des partisans du Parti des travailleurs du Kurdistan et de jeunes manifestants turcs. Ces derniers, au nombre de 150, agitant des drapeaux turcs et entonnant des chants patriotiques, se sont rassemblés sur les marches et le parvis de l’Opéra Bastille pour protester contre « le terrorisme en Turquie ».
Ils ont été attaqués à coups de projectiles par des (...)
Après son succès devant la commission électorale, Jean Schmidt, députée de l’Ohio, poursuit le nationaliste arménien David Krikorian pour diffamation, au civil.
Plus de 200 personnes étaient réunies durant ces 2 derniers jours pour participer à un événement exceptionnel sur la Région Rhône Alpes. C’est en présence de représentants politiques, de spécialistes de grandes qualités et d’un auditoire enthousiaste que ce colloque a apporté « un éclairage sur la nature juridique et la portée des liens unissant la Turquie et l’Union européenne ».
Une manifestation soutenue par les institutionnels
Cet événement a été l’occasion de mesurer la (...)
Nommé à Londres, S.E. Bernard Emié, ambassadeur de France en Turquie depuis près de quatre années, a accueilli samedi soir au Palais de France et en compagnie de son épouse Isabelle la communauté française et francophone d’Istanbul pour un au revoir. L’occasion pour le Petit journal d’Istanbul de lui poser quelques questions.
lepetitjournal.com Istanbul : M. l’Ambassadeur, si l’on évoque d’abord le bilan de votre mission en Turquie, de quoi êtes vous le plus satisfait ?
S.E. Bernard (...)