Lobbying arménien : le CCAF Marseille reste entre les mains des nationalistes
L’une des principales organisations de lobbying arméniennes de France, le CCAF (section Marseille Provence) a organisé Samedi 30 juin 2007, son Assemblée Générale.
Le CCAF a réélu pour 2 ans le nationaliste arménien Pascal Chamassian et son équipe à la tête de l’organisation en vue d’"un début d’année qui sera placé sous le signe de la revendication au Sénat" en faveur de l’adoption définitive de la loi anti-turque sanctionnant pénalement la réfutation de l’histoire officielle selon laquelle "la France reconnaît le génocide arménien".
Sans faire dans la dentelle, de grandes campagnes de lobbying anti-turc sont donc dors et deja annoncées en toute impunité.
Au cours du précédent exercice, le CCAF avait deja réalisé de nombreuses actions de propagande anti-turques.
Le plus important ayant été les campagnes de lobbying auprès des élus de la région afin que soit adoptée le 12 octobre 2006 un texte de loi pénalisant l’histoire et rendant passible de peine de prison pour délit d’opinion toute personne qui s’opposerait à l’histoire officielle française deja votée sous la pression du lobby arménien.
C’est à l’initiative du CCAF Marseille Provence que cinq parlementaires des Bouches du Rhône avaient signé le 23 décembre 2005 « l’appel des cinq », marquant ainsi le point de départ d’une campagne de muselage des français d’origine turque dont l’histoire familiale dérange si elle est exprimée.
L’annonce est faite, la nouvelle mandature sera placée sous le signe du lobbying au Sénat en vue de l’adoption du texte de Loi liberticide voté à l’assemblée nationale le 12 octobre 2006.
Selon l’annonce, le CCAF aura donc pour activité de "poursuivre le travail en faveur de la reconnaissance du Génocide des Arméniens par les autorités turques", avec en toile de fond le muselage et la limitation de la liberté d’expression des français d’origine turque et des Turcs de France.
Le CCAF a également annoncé qu’il continuerait d’essayer d’obtenir le soutien des communautés juives et musulmanes.
Et les historiens dans tout celà ?
Grace à l’impulsion du collectif "Liberté pour l’Histoire" (une bande de "négationnistes" selon le CCAF), plus de 700 historiens français se sont fermement opposés à cette loi liberticide et communautariste.
40 députés votent
Seulement une quarantaine de députés, la majorité pro-arméniens, étaient présents sur les bancs de l’Assemblée ce jour là afin de voter la loi anti-turque ; les autres ayant très certainement refusé d’en être les complices mais n’ont pas pour autant osé voter NON par peur du chantage électoral imposé par les nationalistes arméniens.
Et les juristes ?
Selon plusieurs juristes, la fameuse loi est clairement anti-constitutionnelle, mais personne ne prendra le risque de la soumettre au Conseil Constitutionnel et de s’attirer les foudres des nationalistes arméniens qui, rappelons le, n’ont pas hésité à physiquement agresser des historiens qui n’étaient pas d’accord avec eux dans le passé.