À défaut de pouvoir censurer Twitter dans sa globalité, le gouvernement turc a visiblement réussi à imposer au réseau social de procéder à la fermeture de certains comptes qui lui déplaisent. C’est en tout cas ce qu’affirme Ankara suite à une rencontre avec une délégation conduite par le responsable de la politique publique au sein de l’entreprise américaine.
Seuls les comptes tenus par des internautes turcs seront susceptibles d’être supprimés. Les usagers vivant à l’étranger ne risqueront rien, même s’ils publient des contenus caricaturant certaines figures de l’histoire turque (comme Atatürk) ou relaient des informations sur la corruption du pouvoir en place. Ils ne seront pas inquiétés ; dans le pire des cas, leur compte ou certains messages seront filtrés en Turquie.
Lire la suite sur : Numerama






